De nombreuses personnalités du digital, en présence d’Axelle Lemaire, Secrétaire d’Etat chargée du Numérique, étaient présentes lors de la cinquième édition des Acsel du Numérique qui se sont déroulés le 29 avril dernier.
Pour cette 5e édition, trois tendances illustrant la transition numérique étaient mises : l’économie collaborative, la ville intelligente et les objets connectés.
Les prix ont été décernés par un jury de professionnels :
- Prix Pure Player : Blablacar. (Etaient également nominés : kisskissBankBank et Zilok.)
- Prix e-transformation : Le Grand Lyon (Etaient également nominés : Issy Grid et Nice)
- Prix Services publics : ETALAB (Etaient également nominés : France Université Numérique et la Bibliothèque Nationale de France.)
- Innovation Services : Withings (Etaient également nominés : Netatmo et Connectedphotos.)
- Le Prix Jeunes Talents en partenariat avec Euratechnologies, sélectionnait 3 jeunes entrepreneurs qui présentaient leurs projets lors de la soirée. Le public a choisi Visiotalent qui propose un outil de recrutement innovant facilitant la sélection des candidats. Les deux autres nominés étaient Frizbiz et Fitizzy.
Par ailleurs, lors de son conseil d’administration du 29 avril, Cyril Zimmermann a été élu à la tête de l’Acsel. Ce dernier prend ainsi la succession de Pierre Alzon.
Né en 1971, Cyril Zimmermann est un entrepreneur reconnu de l’économie numérique. Il est président de Hi-Media qu’il a fondé en 1996. Spécialisée sur les médias interactifs depuis 1998, la société Hi-Media s’est diversifiée avec l’évolution des modèles économiques liés à l’Internet. Hi-media emploie environ 500 personnes et réalise près de 200 millions d’euros de chiffre d’affaires. Le modèle économique de Hi-Media repose sur la monétisation de l’audience par Internet et s’appuie sur deux sources de revenus que sont la publicité en ligne, avec sa régie publicitaire, et les paiements sur Internet avec HiPay.
Pour le nouveau président : “l’enjeu est d’aborder l’économie numérique au sens large, de faire adhérer plus de sociétés du secteur mais aussi d’y associer des universitaires et des personnalités du monde politique. L’Acsel doit être un forum et un espace de débat. Elle doit prendre la parole et défricher les nouveaux sujets afin de comprendre les modèles économiques qui marchent, notamment à l’étranger…”